Okaïdi : « Envie de transmettre et de partager les valeurs universelles de l’enfance »

Avec 6 000 collaborateurs présents dans 70 pays, IDKIDS.COMMUNITY réalise un chiffre d’affaires de 779 millions d’euros dont 8.7 % sur internet. Okaïdi, la marque mère de la communauté ÏDKIDS se veut universelle et respectueuse de chaque enfant. C’est avec cette promesse que la marque est devenue leader dans plus de 70 pays. Okaïdi propose des collections innovantes pour permettre à chaque enfant de vivre son style avec modernité. ÏDKIDS.COMMUNITY cherche sans cesse à recruter des nouveaux talents. Aujourd’hui, partons à la rencontre de Carole, Elodie et Mathieu collaborateurs au siège de Roubaix.

Carole Massart, styliste référente

Carole Massart a effectué un cursus à Esmod après une prépa d’arts appliqués. La rennaise a, ensuite, fait une spécialisation enfant dans une école de mode à Paris : « Lors de ma dernière année d’étude, un partenariat a eu lieu entre mon école et Okaïdi. C’est ma collection qui a été choisie : ce fut alors une révélation.

Pour être une bonne styliste, selon moi, il est nécessaire d’avoir le goût des choses bien faites. Ce qui m’attire avant tout c’est de créer un univers qui a du sens et cohérent en termes de couleurs et de graphismes. C’est pour cela que je me retrouve plus dans l’univers enfant que dans celui du textile femme. Il y a un côté fun et ludique ». Carole Massart intervient en amont de la création : le stylisme, ce sont les premières idées, les premières esquisses, les premiers dessins. « Il nous faut créer une collection dans les valeurs de la marque d’Okaïdi. On ne réalise pas un vêtement tout seul. Il faut s’appuyer sur les forces des uns et des autres pour créer quelque chose de beau. Mais ça doit avoir du sens. Je ne fais pas de mode pour les enfants, j’habille les enfants et c’est totalement différent ». C’est pour cela que travailler chez Okaïdi la motive énormément : « L’entreprise m’a beaucoup donné, donc je trouve cela normal de lui redonner autant. Ici, j’ai un peu trouvé une seconde famille. Les collaborateurs sont bienveillants les uns envers les autres. Je m’épanouis vraiment dans ce cadre ».

Elodie Requillart, responsable de marché chaussures

Elodie Requillart a plusieurs casquettes : elle est chef de produits chaussures mais aussi acheteuse et responsable de marché.

Après une école de commerce et quelques stages à l’étranger, celle qui voulait travailler dans le monde du textile va finalement se prendre de passion pour la chaussure suite à un stage dans une centrale d’achat en Chine.

Alors en quoi consiste exactement son métier et ses multiples activités ? « Je fais un métier qui est très varié. En tant que chef de produit, je crée avec la styliste la collection en fonction de l’air du temps et des valeurs de la marque. Je pilote le projet et je gère mon budget. Je crée un plan de collection avec la styliste par rapport à la stratégie élaborée. Une fois la collection développée, dessinée et décidée on négocie les prix avec les fournisseurs c’est à ce moment-là que j’endosse ma casquette acheteuse. Je fais des appels d’offres avec les fournisseurs durant un mois environ. Quand cette partie est terminée, je fais un point avec la gestionnaire qui passe les commandes. Une fois les articles en magasin il faut aussi échanger avec l’équipe merchandising et marketing pour mettre en avant tel ou tel produit phare ». La jeune femme est aussi responsable de marché qui lui permet de faire plus de management et de prendre part à la stratégie de la marque. Une marque dont elle apprécie les valeurs éthiques : « Chez Okaïdi hormis les valeurs écologiques qui nous sont importantes, nous avons aussi un axe innovation qui est très important pour nous. Développer des produits avec des matières innovantes et techniques c’est déterminant dans notre travail. Nous travaillons pour les enfants : les modèles doivent donc être pratiques, ergonomiques, esthétiques, économiques … par exemple nous avons travaillé sur des languettes pour les chaussures et des empiècements réfléchissants pour que les enfants soient visibles sur le trottoir. On essaie de se creuser la tête tout le temps et je trouve ça passionnant ». Originaire du nord de la France, Elodie Requillart n’est pas dépaysée : « Lille est une ville très dynamique. Nous sommes à 1h de Londres et de Paris. La région est jeune, dynamique et la qualité de vie est incomparable. Mon seul regret ? La météo un peu pluvieuse », sourit-elle.

Mathieu Ferez, chef de projet data

Après une prépa scientifique, Mathieu Ferez a fait une école d’ingénieurs en informatique. Après ses études, il intègre un cabinet de conseil à Paris qui accompagne les entreprises dans leurs projets de transformation informatique. Depuis six mois, il est chef de projet data chez Okaïdi. « En tant que chef de projet, mon travail est de décliner la stratégie de l’entreprise en actions concrètes. Je dois mobiliser les collaborateurs et les réunir autour d’un objectif commun. Tout cela à travers un budget donné, des délais et un périmètre à respecter », explique-t-il.

La data qui est collectée permet d’augmenter la valeur des services proposés par l’entreprise, afin d’augmenter la satisfaction des clients et la notoriété des marques : « Avec la data, nous analysons l’activité et nous faisons des préconisations. C’est un métier riche qui permet de grandes collaborations. Nous veillons à instaurer de nombreux temps de partage. Il y a beaucoup de communication et d’échanges ». Alors quelles sont les qualités essentielles pour être un bon chef de projet data ? « Je dirais qu’il faut une certaine appétence pour l’innovation, être un bon communiquant, savoir donner de la visibilité sur les analyses effectuées, vulgariser et savoir s’adapter à son auditoire ». Un métier innovant, intéressant pour lequel ce Parisien, n’a pas hésité à déménager à Lille : « Chez Okaïdi l’adéquation entre la vie privée et la vie professionnelle est bien équilibrée », raconte-t-il. « Et en tant que jeune papa, je me retrouve dans les valeurs de l’entreprise basées sur l’enfance. Il y a une réelle communauté et une excellente communication entre les collaborateurs, articulée autour de notre démarche de progrès « pour que le monde progresse au service de l’enfant qui grandit ».

Cet article a été réalisé en partenariat avec Okaïdi.

Photo (istock/JGalione)