MAX Digital Services : l’ESN où il fait bon télétravailler !

« Le télétravail s’est imposé de lui-même, dès la création de Max Digital Services », explique Anthony Poignant, co-fondateur et directeur associé de MAX Digital Services. Il fait partie d’une réflexion globale et d’un projet d’entreprise qui fait la singularité de MAX. « Les missions sur lesquelles sont mobilisés nos consultants s’inscrivent dans la durée. Un an, parfois deux et plus. Or, avec mon associé Matthieu de Marolles, on souhaitait tout de même créer et faire vivre un véritable esprit d’équipe au sein de l’agence ». Un parti pris qui n’est pas évident quand, en règle générale, les prestataires développent un sentiment d’appartenance davantage lié aux clients finaux qu’à leur société de service. En instaurant une journée de télétravail au sein des locaux de MAX Digital Services, situés à Pacé près de Rennes, Anthony et Matthieu ont réussi à instaurer une véritable cohésion « maxienne ». Une démarche bénéfique pour tout le monde.

Le management 3.0 appliqué à une société de services

Talks, mêlées, réunions, entretiens de recrutement... L’ESN bretillienne s’inscrit depuis toujours dans une logique de partage des savoirs, de craftsmanship. « Le télétravail fait partie intégrante de nos méthodes de management 3.0 et de la manière dont nous concevons MAX », estime Jérémie Harel, prestataire en mission chez Yves Rocher. « Il nous permet de nous voir régulièrement, de garder un lien fort avec les collègues et d'échanger sur les sujets d'actualité tech, de faire notre veille et nous former. A raison d’une journée par semaine en moyenne, on a l’occasion de travailler ensemble, d’échanger sur nos missions, de participer à nos mêlées, de discuter de l’avenir de MAX, de passer les entretiens d’embauche, etc. ». Ces journées sont prévues en concertation avec chacun, en fonction des évènements qui ont lieu à l'agence. Vient qui peut, qui veut. Et bien souvent, nombreux sont les maxiens qui se retrouvent pour travailler à l’agence.

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Les clients finaux comprennent qu’ils sont gagnants

Une majorité des clients de MAX sont déjà convaincus par le bien fondé du télétravail et sont très ouverts sur le sujet. « Ils sont conscients de ses bienfaits sur notre productivité, sur notre technicité et donc sur eux indirectement », analyse Mathieu Souchet.

D’autres sont plus réticents. « On n’impose rien et on prend toujours le temps de leur exposer notre approche collaborative, notre manière de travailler et de développer MAX », assure Matthieu de Marolles. « Nos clients comprennent alors rapidement qu’en acceptant cette flexibilité dans leur organisation, ils sont gagnants. Les presta - dont ils sont toujours très contents ! - se sentent responsabilisés et plus autonomes. Ils s’investissent alors davantage et restent pour des missions sur le long, voire très long terme ».

D’autant que Jérémie Harel le confirme : « le télétravail n’a aucun impact sur mes missions. Quand je suis en-dehors du site, nous réalisons régulièrement des réunions via des outils de télécommunications qui permettent l'échange par voix et le partage d'écran par exemple. C'est assez proche d'une conversation en face à face, devant un seul écran finalement ! ».

Pleinement satisfait de cette liberté d’organisation, Mathieu Souchet s’y est habitué très vite ! « On se sent entièrement responsabilisés, le client nous fait confiance, et cette confiance, en plus d'être gratifiante, nous fait nous impliquer à 100%. Finalement, on est épanoui. Pas de frustration de ne pas pouvoir voir nos collègues MAX. On mène de front notre travail chez le client et notre vie maxienne ! ».

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A l’agence ou depuis chez soi, les bénéfices sont aussi écologiques, économiques et personnels

« Parfois, c'est tout simplement très agréable de pouvoir rester chez soi ou de s'isoler à l'agence pour pouvoir se concentrer plus efficacement sur une tâche ardue », ajoute Mathieu Souchet, qui organise même des réunions de travail avec son client, depuis l'agence, « pour être plus tranquille ». « Ça nous ouvre vraiment plein de perspectives ! ».

Mathieu Bonnel, lui, télétravaille une à deux fois par semaine. En mission à plus de trois quart d’heure de Rennes, le télétravail lui permet de gagner du temps de trajet et donc du confort lors de ses journées en flex office. « On sait à quel point les bouchons peuvent être épuisants dès le matin, et les réseaux de bus ne correspondent pas toujours aux trajets effectués. Télétravailler permet d’éviter ce stress au moins une fois dans la semaine ». Il soulève également un autre avantage, et pas des moindres : « c'est aussi un petit pas sur le plan écologique, et de ce point de vue, je trouve que le télétravail devrait être bien plus souvent envisagé ! ». A bon entendeur... !

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