Le maroquinier d’excellence TOLOMEI se développe et recherche de nouveaux talents partout en France !

Ils étaient chauffeur routier, boulanger, assistante maternelle ou peintre en BTP avant de participer à l’une des réunions d’information du Groupe TOLOMEI. Tous ont aujourd’hui de l’or au bout des doigts et partagent la même fierté de contribuer au rayonnement du savoir-faire français.

Tout comme eux, vous avez envie de trouver ou de retrouver du plaisir dans votre vie pro ? Le Groupe TOLOMEI vous ouvre la porte de ses ateliers pour vous former en trois mois au métier de maroquinier, avec un CDI à la clé une fois les bases maitrisées !

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TOLOMEI, partenaire reconnu d’artisanat d’excellence

Créé en 2004 au Mans, dans la Sarthe, le Groupe TOLOMEI s’est imposé au fil des ans comme l'un des acteurs principaux de la maroquinerie française. Le maroquinier poursuit son développement à la faveur d’un marché florissant et particulièrement dynamique. « Nous avons notamment repris le groupe Le Tanneur et Cie en 2017 et intégré ses deux sites de production basés en Corrèze, retrace Jean Galtier d’Auriac, DRH du Groupe TOLOMEI. Nous comptons actuellement 10 sites en France et près de 1 800 salariés.»

Loin d’être ralentie par le Covid-19, l’entreprise maintient le cap et déborde de projets. « Nos produits sont reconnus pour leur qualité dans le monde entier et l’essor du e-commerce, depuis le début de la crise sanitaire, a permis de continuer à répondre à la forte demande des consommateurs. »

Un contexte très favorable qui explique le fort besoin de main-d’œuvre du groupe : « On parle beaucoup d’industrie en France, mais la maroquinerie reste mal connue, alors que ce secteur recrute entre 4 000 et 5 000 salariés par an, déplore Jean Galtier d’Auriac. Façonner un sac en cuir haut de gamme de ses mains est extrêmement valorisant, c’est un très beau métier ! »

Exigence, bienveillance et excellence : l’ADN du Groupe

« Nous avons coutume de dire que l’exigence et la bienveillance mènent à l’excellence, souligne Jean Galtier d’Auriac. Le niveau de qualité attendu est probablement le plus élevé au monde, car la maroquinerie française est particulièrement reconnue. Pour atteindre l’excellence, nous nous devons d’être exigeants dans la fabrication des produits, mais aussi au sein des services support. Nous soignons tout particulièrement l’accompagnement des managers pour que les collaborateurs se sentent épanouis, qu’ils exercent leur métier avec plaisir. C’est la condition sine qua non pour qu’ils donnent chaque jour le meilleur d’eux-mêmes ! »

400 recrutements ouverts en 2022

L’entreprise a déjà recruté près de 500 personnes en 2021 (principalement en production, ainsi que des chefs d’équipe, agents de maintenance, logistique, etc.) et prévoit d’ouvrir 400 recrutements en 2022 pour accompagner sa croissance. Des objectifs ambitieux qui vont de pair avec la création de nouveaux sites et de nombreux travaux d’agrandissement : « Trois extensions sont en cours dans la Sarthe, le Sud-Ouest et la Corrèze. Elles seront finalisées avant l’été. Deux nouveaux sites vont aussi sortir de terre à Thorigné-sur-Dué (72) et dans le sud des Landes entre cette année et l’an prochain, et nous recherchons activement deux autres emplacements pour nos implantations futures. Dans l’intervalle, nous avons ouvert des sites relais à Connerré (72), Saint-Lon-les-Mines (40) et Valence (26), avec plusieurs centaines de postes à pourvoir dès maintenant. »

Rien n’arrête le Groupe TOLOMEI ! « Ces multiples projets mobilisent énormément nos équipes, mais nous avons la chance d’avoir des collaborateurs très engagés et investis », se félicite Jean Galtier d’Auriac.

Le savoir-être au cœur du recrutement

Nul besoin de posséder des compétences techniques pour devenir maroquinier, car le Groupe TOLOMEI forme lui-même ses nouvelles recrues. Le savoir-être est en revanche fondamental : « Il faut être curieux, motivé, habile de ses mains, avoir le sens du travail bien fait et une certaine dextérité dans ses gestes. »

Les qualités relationnelles sont aussi scrutées à la loupe. « Le respect, l’écoute et la considération pour autrui sont des prérequis indispensables pour évoluer chez nous. Ces qualités, qui font écho à nos valeurs, sont aussi importantes que les compétences métier ! »

Maroquinier : un quotidien loin des stéréotypes

Première idée reçue : « c’est un métier réservé aux femmes ». « Beaucoup d’hommes s’épanouissent dans cette fonction, le piquage à la machine à coudre est très technique et mécanique. Si vous appréciez le bricolage et êtes minutieux, vous vous y retrouverez complètement ! » affirme Marie-Liesse Cognacq, responsable communication du Groupe TOLOMEI.

Vous craignez de travailler à la chaine ? « Ce n’est pas du tout le cas chez nous ! La bienveillance, c’est aussi aider nos collaborateurs à grandir en compétences sur de nouvelles tâches, pour qu’ils changent de gestes et de postures au cours d’une même journée. Le quotidien est tout sauf routinier. »

Rejoindre le Groupe TOLOMEI, c’est aussi intégrer un collectif soudé et solidaire. « Chaque cellule de production travaille sur un même modèle de produit. Si la qualité n’est pas au rendez-vous à chaque étape, toute l’équipe repart à zéro. C’est un vrai travail d’équipe et le sentiment d’engagement est très fort au sein des ateliers. » Le rôle du chef d’équipe est en ce sens primordial pour coordonner les tâches et fluidifier la communication.

Une formation de trois mois indemnisée

D’une durée de trois mois (400 h), la formation du Groupe TOLOMEI est certifiée Qualiopi et indemnisée par Pôle emploi (au statut de stagiaire de la formation). Elle débute par une phase d’apprentissage sur une ligne-école, avec du matériel dédié et des formateurs aguerris. Le programme alterne entre des mises en pratique sur machine et de courtes sessions théoriques. Les trois dernières semaines comportent une période en immersion sur une ligne de production de l’atelier, dans les conditions du réel, mais avec l’appui des formateurs et de l’équipe en place.

Les personnes sélectionnées sont par la suite intégrées en CDI, ou en CDD (de 6 mois à un an) suivi d’un CDI. « Nous les orientons en interne en fonction de leurs aptitudes, des savoir-faire acquis et de nos besoins. Dès leur prise de fonction, elles bénéficient d’un suivi de proximité du chef d’équipe, mais aussi de points réguliers avec le RH de l’atelier tout au long de la première année. Le but est de s’assurer que le collaborateur s’épanouit pleinement chez nous, car nous visons un engagement sur le long terme ! »

En savoir plus sur cette formation 

Un groupe qui fait grandir ses talents

Une fois en poste, les possibilités d’évolution sont multiples : « Au sein d’une cellule de production, vous pouvez avoir le rôle de référent pour un savoir-faire spécifique. » Autres options : devenir chef d’équipe, formateur ou intégrer le bureau d’études de sa manufacture. « C’est dans ce service que nous développons les produits que les clients nous confient. Les maroquiniers expérimentés évoluent naturellement vers ce type de fonction. Nous favorisons bien entendu ces mobilités par le biais d’un accompagnement dédié. »

Les success-stories ne manquent pas : « L’une de nos directrices de site a débuté comme maroquinière avant d’exercer comme chef d’équipe. Elle a ensuite évolué en tant que responsable d’atelier puis responsable de production. Cela fait maintenant plusieurs années qu’elle dirige avec succès sa manufacture ! illustre Marie-Liesse. Une autre est devenue formatrice référente et se déplace sur plusieurs sites pour mettre en place les programmes de formation interne, faire monter en compétence ses pairs et les maroquiniers en place. »

Comment postuler ?

Pour postuler, inscrivez-vous sans attendre à l’une des prochaines réunions d’information de TOLOMEI. Organisées en partenariat avec Pôle Emploi, ces portes ouvertes collectives visent à vous présenter le métier, mais aussi à répondre à toutes vos questions : organisation du site, horaires, rémunération, etc. Une étape incontournable pour intégrer l’entreprise !

Des tests MRS (Méthode de Recrutement par Simulation), brevetés par Pôle emploi, sont aussi proposés aux personnes souhaitant candidater : « Ces exercices font appel à la dextérité, à l’habilité, à l’attention et à la rapidité des candidats, avec un seuil à atteindre, résume Jean Galtier d’Auriac. Ils permettent de ne pas prendre en considération l’expérience professionnelle acquise du candidat, mais bien ses aptitudes personnelles qui sont nécessaires à l’exercice du métier de maroquinier. »

Ceux qui y parviennent sont ensuite reçus en entretien individuel sur les sites qui recrutent, et invités à effectuer quelques tests en atelier. « On ne juge bien sûr pas les opérations en tant que telles, mais la capacité d’écoute des instructions et de concentration des personnes. Les candidats validés intègrent ensuite l’une de nos sessions de formation, au sein d’un groupe de 10 à 12 personnes. »

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Crédit image : Groupe Tolomei