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« CESI École d’Ingénieurs m’a apporté les compétences et l’expérience pour imaginer et concevoir les technologies de demain »

Par Rozenn Perrichot • Publié le • Modifié le

Il a 25 ans et déjà un parcours professionnel qui en dit long sur sa motivation, sa persévérance et surtout sa passion. Kévin Aubaret est ingénieur Chaîne de Détection pour l’industrie spatiale, au sein du laboratoire Détection d’Airbus Defence and Space ; un poste qu’il n’aurait pu occuper sans avoir fait ses classes à CESI École d’Ingénieurs.

« CESI École d’Ingénieurs m’a apporté les compétences et l’expérience pour imaginer et concevoir les technologies de demain »

Certains veulent devenir développeur, artisan, infirmier, etc. Kevin Aubaret, lui, voulait devenir ingénieur, ou du moins, apporter sa pierre à l’édifice de la conquête spatiale. « Passionné par les avancées technologiques, les sciences et l’espace, j’ai toujours été fasciné par la manière dont les technologies (systèmes électroniques, détecteurs, fusées, stations spatiales) fonctionnent. Ce sont des procédés captivants que j’ai toujours voulu comprendre ». Et pour acquérir cette connaissance des dernières technologies de pointe du XXI° siècle, la voie de l’ingénierie était toute tracée.

CESI, ou la force d’un réseau dynamique qui devient un accélérateur de passion

Après un cursus académique spécialisé en électronique, Kévin décide de poursuivre dans l’instrumentation spatiale d’observation à des fins scientifiques et/ou militaires. Alors que sa candidature est retenue dans une autre école prestigieuse d’ingénieurs à Nantes, il fait le choix de CESI École d’Ingénieurs à Toulouse et s’inscrit dans la formation d’ingénieur Systèmes Électriques et Électroniques Embarqués (S3E). La différence ? Le parcours en apprentissage.

La formule en alternance proposée par CESI École d’Ingénieurs a primé. Elle était le meilleur moyen pour Kevin Aubaret d’intégrer directement une entreprise du secteur, sans attendre de terminer une formation classique et généraliste pour mettre un pied sur le terrain de la recherche spatiale.

Grâce au maillage régional et au dynamisme du réseau CESI, il intègre alors l'Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie (IRAP CNRS, UMR 5277) de Toulouse, capitale européenne du spatial. « C’est dans la ville rose que tous les grands acteurs sont implantés. Industriels, laboratoires, le CNES (Centre national d'études spatiales) : tout le réseau y est concentré, et avec lui les opportunités professionnelles. Un microcosme dans lequel CESI Toulouse joue également un rôle important en tant que relais entre les étudiants, les entreprises et les plus grands spécialistes – Docteurs référents et chercheurs – du secteur : un accélérateur de passions, en d’autres termes ! ».

Spatial, mais aussi aéronautique, automobile, robotique, objets connectés…

On qualifie de « système embarqué » un système électronique et informatique autonome dédié à une tâche précise, souvent en temps réel, possédant une taille limitée et ayant une consommation énergétique restreinte. De tels systèmes sont nombreux dans des secteurs aussi variés que l’aéronautique, l’automobile, la robotique, le spatial, la téléphonie mobile, les objets connectés… Les ingénieurs de la branche combinent pour cela des compétences en électronique, en informatique industrielle et en automatique.

ingenierie-aerospatiale

Si Kevin Aubaret savait précisément ce qu’il voulait étudier, la formation S3E de CESI ne l’a pas moins poussé à se dépasser, notamment en management, en gestion de projets pluridisciplinaires, en innovation et communication qui lui permettent aujourd’hui de prétendre à des niveaux de responsabilité plus élevés. « Là où je souhaitais faire du développement en laboratoire, je sais aujourd’hui que je pourrai évoluer à un poste de responsable de développement, sur des instruments de haute technologie dans des entreprises à rayonnement international ».

Olympiades des métiers et FPGA : des vitrines de carrière

À l’issue de son apprentissage à l’Institut de Recherche en Astrophysique et Planétologie, il y a été embauché en tant qu’ingénieur de recherche, avant d’intégrer le laboratoire Détection d’Airbus Defence and Space en 2016. Une dizaine d’ingénieurs eux aussi issus du campus CESI de Toulouse, travaillent sur ce même site dans des métiers distincts.

Quant à savoir ce qui a séduit les recruteurs chez ce fraîchement diplômé de la promo 2016, il ne fait aucun doute que sa participation aux Olympiades des métiers avec CESI, dans la spécialité robotique mobile, a fait mouche sur son CV. Finaliste de la région Midi-Pyrénées avec son binôme, ils ont été sélectionnés pour la finale nationale à Strasbourg, rien que ça !

Autre spécificité propre à CESI École d’Ingénieurs à Toulouse, et qui assoit sa notoriété et sa valeur ajoutée : les projets en partenariat avec le département EEA (Électronique – Énergie Électrique – Automatique) et le département GEII (Génie Électrique Informatique Industrielle) de l’université Paul Sabatier de Toulouse. Au cours de sa formation, Kevin Aubaret a ainsi pu participer à des projets importants autour du FPGA (Field Programmable Gate Arrays ou Circuit logique programmable) : une plus-value technique très recherchée qui renforcent un profil déjà très qualifié. C’est ce mariage gagnant entre savoir et savoir-faire qui fait le succès de la formation.

Kevin attend désormais 2021 avec impatience. C’est à cette date que décolleront les équipements spatiaux qu’il a pu développer durant ses trois années d’apprentissage dans le cadre de la mission franco-chinoise SVOM (Space Variable Object Monitor), un vol qui sera l’aboutissement de son cursus au sein de CESI École d’Ingénieurs et dont il parle avec enthousiasme, qu’il recommande à tous les passionnés, peu importe leur secteur d’activité car les débouchés sont nombreux (ingénieur recherche et développement, ingénieur hardware / software, chef de projet, ingénieur production, chargé(e) d’affaires, responsable de service…) et les projets technologiques et industriels sans limites.

Un cursus en cinq ans pour devenir ingénieur(e)

Vous aussi êtes intéressé par une formation CESI ? Présente partout en France grâce à ses 25 campus et 9 000 entreprises partenaires, CESI École d’Ingénieurs a déjà accueilli plus de 6 500 élèves pour sa rentrée 2018. Les cursus sont accessibles en formation initiale, en apprentissage mais aussi en formation continue.

Vous pouvez bénéficier d’une admission post-bac si vous êtes titulaire d’un bac scientifique ou technologique S, STI2D ou STL, en vous inscrivant sur le site Parcoursup. Une analyse du dossier scolaire et une épreuve orale devant un jury déterminent les candidats retenus. Une admission est également possible après un bac +2 scientifique. Dans le cas d’un DUT, CPGE (Classes Préparatoires aux Grandes Écoles) ou d’un BTS scientifique, et pour les candidats ayant moins de 26 ans, il est possible d’intégrer le cursus en apprentissage directement en 3e année. La sélection se fait par analyse du dossier, épreuve écrites et entretien de motivation.

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